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Porté depuis 2013 par le Labex Arts-H2H avec, notamment, l’Université Paris 8, la BnF, le Centre Pompidou et le CNC, le programme de recherche « CinéPol68 » dresse le bilan de trois années de recherche.

David Haxton est un artiste qui travaille la photographie et le film, à l’instar d’artistes ayant réalisé des films tels que Duchamp, Man Ray, Warhol, il réalise seize films « mono écran » de 1970 à 1982, selon une méthode originale de performance graphique filmée en plan fixe et en durée réelle. En présence du cinéaste, une journée de colloque et d’échanges avec la projection de l’intégrale de ses films.
Organisé par (service, équipe de recherche, labo, département, association, …) : Équipe de recherche Esthétique sciences et technologies du cinéma et de l’Audiovisuel de l’Université Paris 8, association Cinédoc Paris Films Coop, Institut National d’Histoire de l’Art. Avec le soutien du Conseil Scientifique de l’Université Paris 8, du Centre National du Cinéma et de la Ville de Paris.

Cette Master Class présentera une suite d’interventions problématisant le rapport entre le geste filmé et les objets techniques des dispositifs de captation et de projection. Andre Parente est professeur invité dans le cadre du projet « Le geste filmé ». Il est artiste et professeur de l’Ecole de Communication à l’Université fédérale de Rio de Janeiro où il coordonne le Noyau de Technologie de l’Image (N-Imagen).

Machine Vision. Steina et Woody Vasulka, 50 ans d’images électroniques.
INHA Auditorium
Ce colloque international, réunissant les spécialistes de Steina et Woody Vasulka, reviendra sur l’histoire et l’actualité de ce demi-siècle de réalisation dans leurs aspects artistique, esthétiques, technologiques, et muséographiques. Journées organisées conjointement avec l’équipe de recherche Esthétique, Sciences et Technologies du Cinéma et de l’Audiovisuel de l’Université Paris 8, et l’association Cinédoc Paris Films Coop, sur une proposition de Claudine Eizykman. Comité scientifique, Guy Fihman, Grégoire Quenault et Dominique Willoughby.

Le film « guérilla » : au-delà de l’indépendance
Colloque International
Le film « guérilla », pour reprendre la terminologie d’usage employée par les réalisateurs qui s’en réclament, se caractérise par l’indépendance économique et institutionnelle assumée de leur production réalisée sans autorisations et avec un minimum de moyens techniques et financiers, leur financement engageant souvent les revenus propres des artistes. Le renouvellement formel à l’œuvre et la force du regard qu’ils portent sur la société ont permis à certains de ces films d’accéder à des modes de diffusion et de valorisation classiques, à l’instar de Donoma (Djinn Carrénard, 2010), Rengaine (Rachid Djaïdani, 2011), Rue des cités (Carine May, Hakim Zouhani, 2011), ou encore Brooklyn (Pascal Tessaud, 2012), etc. Ce colloque pluridisciplinaire propose d’explorer cette nouvelle forme d’exigence cinématographique.
Ce colloque est porté par l’IRCAV à l’Université Sorbonne Nouvelle – Paris 3, l’ESTCA à l’Université Paris 8, ainsi que Clare-Artes de l’Université de Bordeaux 3. Il est partie prenante du projet de recherche pluridisciplinaire ANR « Cluster 9-3 » qui analyse l’ancrage territorial des activités audiovisuelles sur le Nord parisien, notamment les dynamiques existant avec le tissu créatif et culturel non lucratif.
Comité d’organisation : Joël Augros, Hélène Fleckinger, Kira Kitsopanidou, Emna Mrabet, Cécile Sorin
INHA : 2 Rue Vivienne – 75002 Paris M° Bourse
Maison des Sciences de l’Homme Paris Nord : 20 avenue George Sand – 93210 St-Denis la Plaine M° Front Populaire

Séances des années folles. Salles Pratiques Techniques.
Reconstitution de séance et projection
Introduction au projet de recherche « Séances de cinéma : sémantique, pratiques et imaginaires » porté par les membres de Kinétraces, cette journée d’études vise à engager une réflexion sur la notion de séance dans la France des années folles, en interrogeant plus particulièrement ici les éléments alors en pleine mutation qui la définissent, tels que la salle, les pratiques et les techniques, ainsi que les liens entre cinéma et architecture, théâtre, littérature ou encore musique. Les années 1920 sont en effet charnières pour l’étude de l’évolution des conditions de monstration des films, entre stratégies de standardisation, développements de secteurs spécialisés et non-commerciaux, et usages créatifs de la séance. La journée se clôture par une reconstitution de séance de projection du film La Tierra de los toros (1924) réalisé par Musidora, à la fois œuvre cinématographique et théâtrale, spectacle mixte intégrant des numéros de danse et de chant sur scène.
Présentation de la séance par Marién Gómez Rodríguez (Université Paris 3)
Projection du film La Tierra de los toros de Musidora (1924) avec reconstitution des intermèdes chantés et dansés (100’)
Interprète : Marie-Claude Cherqui
Accompagnement musical au piano : Adelon Nisi, élève de la classe
d’improvisation de Jean-François Zygel (CNSMDP) Accompagnement musical à l’accordéon : Michel Viennot
Projection 35 mm, copie en provenance des AFF/CNC
Tous nos remerciements à l’association Les Amis de Musidora
Comité d’organisation (Université Paris 3 / Université Paris 8) : Manon Billaut, Emmanuelle Champomier, Agnès Curel, Marién Gómez Rodríguez, Céline Pluquet, Élodie Tamayo.

Colloque international « Le cinéma muet italien au croisement des arts : Peinture, sculpture et arts décoratifs (1905-1928) à la Villa
Médicis de Rome. Programme mis en ligne ultérieurement.

Le collectif Abounaddara
Depuis le début du soulèvement en Syrie au mois de mars 2011, le collectif Abounaddara s’est notamment engagé dans une critique sans répit de l’orientalisme qui façonne notre regard sur ce pays. À partir de la projection d’une sélection de ses films, il s’agira de montrer comment Abounaddara déplace notre perception du territoire syrien, de son patrimoine historique comme de ses destructions en cours. Il s’agira aussi, dans un second temps, de mettre en évidence comment ces films se distinguent d’autres types d’images (médiatiques, propagandistes, documentaires…) qui servent de vecteur à la représentation de ce que l’on appelle le « conflit syrien ».
Présentation et modération Dork Zabunyan (ESTCA / Université Paris VIII)

Colloque Antonioni et après ? La postérité de Michelangelo Antonioni Dix ans après sa disparition.
A l’occasion des dix ans de la mort de Michelangelo Antonioni ( le 30 juillet 2017), ce colloque se propose d’interroger la postérité du cinéaste. Une décennie après sa disparition et treize ans après son dernier film ( Le périlleux enchaînements des choses), comment Antonioni est -il encore présent dans la création artistique et dans la réflexion critique, théorique et universitaire aujourd’hui ?
Comité scientifique : Damien Angelloz-Nicoud, Véronique Buyer, Nicolas Droin, Dork Zabunyan.
Archives Nationales, Salles de commissions 1&2

Colloque international
La création cinématographique. Coopérations artistiques et cadrages industriels.
Comité d’organisation :
Mélisande Leventopoulos (Université Paris 8)
Jean-Marc Leveratto (Université de Lorraine)
Katalin Pór (Université de Lorraine)
Caroline Renouard (Université de Lorraine)
Avec l’aide de Catherine Raban (2L2S) et Marie Pottier (UFR ALL)
Jeudi 23 novembre
Salle A214 (Matinée)
Salle A32 (Après-midi)
Vendredi 24 novembre
Salle A127

Le cinéma expérimental italien des années 1960/70 revisité
Autour de la Cooperativa Cinema Indipendente Roma et des films retrouvés de Gianfranco Brebbia.
Au cours des années 1960, émergèrent dans le monde entier des groupes de cinéastes expérimentaux organisés en coopératives indépendantes. Parmi ces courants, le mouvement italien, parfois autoproclamé underground, se caractérise par son originalité et sa diversité esthétique, dans laquelle Paolo Bertetto a notamment distingué le cinéma d’artiste, le cinéma « auto-expressif » et le cinéma déconstructif. Cette projection en propose un aperçu, avec une première sélection de quelquesuns des films les plus marquants de la Cooperativa Cinema Indipendente (CCI) de Rome, présentée par Massimo Bacigalupo, cinéaste et écrivain ayant participé au mouvement underground italien, et Paolo Bertetto, professeur et spécialiste des avantgardes cinématographiques, en compagnie de Dominique Willoughby, cinéaste et enseignant à l’Université Paris VIII.
Entrée libre dans la limite des places disponibles. Réservation recommandée