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Projection d’Histoire d’hiver
de Gabriella Guillermo et Irina Raffo
Gabriela fait des films Ă Montevideo et envoie des lettres Ă son professeur, le cinĂ©aste Français AndrĂ© S. Labarthe, avec qui elle a Ă©tudiĂ©e, il y a des annĂ©es Ă Paris. Un jour, AndrĂ© lui promet de faire un film ensemble. Enfin le moment vient et la cinĂ©aste uruguayenne quitte l’étĂ© pour s’envoler vers l’hiver parisien dans le but de tourner le film souhaitĂ©. En arrivant dans la capitale française, la rĂ©alisatrice se retrouve dans une situation très dĂ©licate : AndrĂ© est très malade, il n’a que quelques jours Ă vivre et ils le savent tous les deux. Il faut attendre le moment pour pouvoir enregistrer. Pendant l’attente qui prend quelques jours, la camĂ©ra erre Ă travers la capitale parisienne, les jardins, les cinĂ©mas Art et Essai jusqu’à l’arrivĂ©e Ă Paris 8, l’universitĂ© oĂą Gabriela a connu son professeur. Le documentaire se transforme en une espèce de “road movie” Ă©motionnelle Ă la recherche du temps perdu qui rĂ©cupère son propre langage universel : celui du cinĂ©ma qui les rĂ©unit. Cette rencontre sensible prend forme dans le film en assemblant des fragments de pièces créées par Gabriela et celles d’AndrĂ©. Les films d’AndrĂ© et Gabriela s’entremĂŞlent, racontant enfin une histoire d’amour pour le cinĂ©ma. Au fur et Ă mesure que le film progresse, les deux Ĺ“uvres trouvent dans leur forme et contenu une forte correspondance. Ils se rĂ©unissent naturellement, crĂ©ant un univers qui fusionne les deux filmographies.

Séminaire inter-universitaire sur la critique
René Lévesque et la critique de cinéma au Québec (entre 1896 et 1960)
par Jean-Pierre Sirois-Trahan
Cette conférence brossera à grandes touches un panorama de la critique au Québec, depuis les premiers temps du cinéma jusqu’aux grandes revues critiques des années 1950 (Images, Séquences, Objectif). Nous nous concentrerons plus particulièrement sur le travail de René Lévesque à la suite de l’édition récente de ses chroniques cinématographiques. Sans doute le personnage politique le plus aimé de l’histoire du Québec, l’ancien premier ministre avait peu parlé, en privé et en public, de sa passion cinéphile et de son activité de critique. Nous parlerons de ce corpus oublié qui en fait un « écrivain de cinéma » (Truffaut) et l’un des premiers critiques modernes au Québec.
Jean-Pierre Sirois-Trahan est directeur du programme Cinéma et culture numérique, ainsi que professeur en cinéma au Département de littérature, théâtre et cinéma de l’Université Laval (depuis 2003). Il a obtenu un double doctorat à l’Université de Montréal et à l’Université Sorbonne Nouvelle. Il a codirigé avec Sophie-Jan Arrien Le Montage des identités (PUL, 2008). Il s’intéresse notamment au cinéma des débuts sur lequel il a publié plusieurs articles et codirigé deux ouvrages : Au pays des ennemis du cinéma… Pour une nouvelle histoire des débuts du cinéma au Québec (Nuit blanche éditeur, 1996) et La Vie ou du moins ses apparences. Émergence du cinéma dans la presse de la Belle Époque (Cinémathèque québécoise/Grafics, 2002). Récemment, il a édité les chroniques de cinéma de René Lévesque sous le titre de Lumières vives (Boréal, 2023).

Projection d’Histoire d’hiver
de Gabriella Guillermo et Irina Raffo
Synopsis :
Gabriela fait des films à Montevideo et envoie des lettres à son professeur, le cinéaste Français André S. Labarthe, avec qui elle a étudiée, il y a des années à Paris. Un jour, André lui promet de faire un film ensemble. Enfin le moment vient et la cinéaste uruguayenne quitte l’été pour s’envoler vers l’hiver parisien dans le but de tourner le film souhaité. En arrivant dans la capitale française, la réalisatrice se retrouve dans une situation très délicate : André est très malade, il n’a que quelques jours à vivre et ils le savent tous les deux. Il faut attendre le moment pour pouvoir enregistrer. Pendant l’attente qui prend quelques jours, la caméra erre à travers la capitale parisienne, les jardins, les cinémas Art et Essai jusqu’à l’arrivée à Paris 8, l’université où Gabriela a connu son professeur. Le documentaire se transforme en une espèce de “road movie” émotionnelle à la recherche du temps perdu qui récupère son propre langage universel : celui du cinéma qui les réunit. Cette rencontre sensible prend forme dans le film en assemblant des fragments de pièces créées par Gabriela et celles d’André. Les films André et Gabriela s’entremêlent, racontant enfin une histoire d’amour pour le cinéma. Au fur et à mesure que le film progresse, les deux œuvres trouvent dans leur forme et contenu une forte correspondance. Ils se réunissent naturellement, créant un univers qui fusionne les deux filmographies.

Projection de Italia, Le Feu, La Cendre
de Céline Gailleurd et Olivier Bohler
Pour la sĂ©ance Ă l’Ă©cran, une gratuitĂ© est prĂ©vue les Ă©tudiant.e.s en cinĂ©ma de l’UniversitĂ© Paris 8 sur prĂ©sentation de la carte Ă©tudiante de Paris 8 Ă l’entrĂ©e du cinĂ©ma.Â

Clôture de la 1re édition du Festival CLaP
PROJECTION D’HISTOIRE D’ETE DE GABRIELLA GUILLERMO ET IRINA RAFFO
À l’occasion de la clôture du Festival de Cinéma Latino-américain de Paris, nous organisons une séance spéciale le dimanche 16 avril à 20h au Cinéma le Grand Action : la projection du film Historias de verano, de Gabriela Guillermo et Irina Raffo, en leur présence !
Synopsis : Ce sont cinq histoires d’amour baignées par le soleil et par la temporalité calme de l’été. Ce sont également cinq manières, timides ou directes, habiles ou maladroites, de s’approcher, de se toucher, dans l’attente et dans l’espoir de voir le rayon vert. Premier volet des saisons [Historias de otoño, 2021 ; Historias de invierno, 2022], le film s’inspire et rend hommage au cinéma de Rohmer.

Projection de La Tour de Nesle de Noël Herpe
Dans le cadre de l’exposition et cycle de films Alexandre Dumas Ă l’écran Ă la Fondation PathĂ©, le long mĂ©trage de NoĂ«l Herpe La Tour de Nesle sera projetĂ© Ă© le mardi 29 mars Ă 19h30. La sĂ©ance sera suivie d’un dĂ©bat avec le rĂ©alisateur animĂ© par Thierry Jousse.
Synopsis :
Sous le règne du roi Louis X le Hutin, sa femme Marguerite se livre Ă des parties de plaisir, dans le secret de la Tour de Nesle. Ses jeunes amants sont aussi ses victimes, qu’elle fait assassiner pour n’ĂŞtre pas dĂ©masquĂ©e. Tel est le sort qui attend Philippe d’Aulnay : ce garçon Ă peine arrivĂ© Ă Paris passe en une nuit des bras de la souveraine au fond de la Seine. Ce que la reine ignore, c’est que parmi ses compagnons de dĂ©bauche, il se trouve cette nuit-lĂ un certain Buridan. Un aventurier prĂŞt Ă tout pour conquĂ©rir l’argent et le pouvoir – y compris Ă faire chanter la reine de France… C’est le dĂ©but, entre ces deux ĂŞtres, d’une guerre sans merci oĂą se succèdent les retournements de situations spectaculaires, les rĂ©vĂ©lations Ă©pouvantables, les feux croisĂ©s de la haine et de l’amour.
Noël Herpe est réalisateur, historien du cinéma et auteur de nombreux livres. Après Souvenirs/Ecran (Bartillat) et Delair/Clouzot (Marest), le dernier en date s’intitule Ma vie avec Bernard Pivot, et paraîtra début mai chez Plein Jour.
Thierry Jousse, ancien rédacteur en chef des Cahiers du cinéma, écrit régulièrement aux Inrockuptibles et anime l’émission Ciné Tempo sur France Musique. Dernier livre paru : Bandes originales (EPA Éditions).

Projections de La mécanique des fluides
de Gala Hernández López
Le film de thèse de Gala Hernández LĂłpez, La mĂ©canique des fluides, sera projetĂ© Ă l’École Normale SupĂ©rieure rue d’Ulm le 10 mars Ă 19h, salle Dussane, dans le cadre de l’atelier de rencontres avec des cinĂ©astes animĂ© par Anouk PhĂ©line : EntrĂ©e libre et gratuite.
Une deuxième projection aura lieu au Centre Pompidou dans le cadre du festival Cinéma du réel, le 25 mars à 17h45, dans leur programmation « Le monde, autre ».