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La Novellisation. Études de cas
Cette Journée d’études du 5 décembre 2017 se veut la poursuite du travail effectué lors d’une première Journée qui a eu lieu le 10 décembre 2014 et qui s’intitulait : « La Novellisation – Peut-on parler d’adaptation ? ». Des questions d’ordre théorique et historique y seront de nouveau abordées, par d’autres intervenants, mais il s’agira surtout d’étudier précisément des œuvres – d’où le titre « études de cas » – qui sont des « adaptations à l’envers », ou des écrits littéraires renvoyant à l’univers du cinéma et des films, ou à certains films en particulier.
La JournĂ©e devrait permettre de montrer que les types de transpositions Ă partir d’un film ou d’un scĂ©nario sont nombreux. Que la Novellisation est un phĂ©nomène complexe, polymorphe, visant des lectorats assez diffĂ©rents, et qui rĂ©pond Ă des projets, des intentions diverses – artistiques, idĂ©ologiques, commerciales…
Organisation : Enrique Seknadje
Aide à l’organisation : Quentin Flaicher
Équipe d’accueil : Esthétique, Sciences et Technologies du Cinéma et de l’Audiovisuel [ESTCA]

Politiques du cinĂ©ma et territoiresÂ
Organisée à l’initiative du projet ANR Cluster 9-3, en partenariat avec le festival Premiers Plans et en collaboration avec la SFR Confluences de l’Université d’Angers
Conçue comme un dialogue entre chercheurs et professionnels du cinéma, cette journée d’études entend questionner les politiques du cinéma menées par les collectivités territoriales. Tout en considérant le panorama d’ensemble, il s’agira d’essayer de cerner les spécificités, et différences, à la lumière d’études de cas territoriales. Depuis le début des années 2000, les collectivités territoriales ont développé, et renforcé, leurs politiques du cinéma (et plus largement de l’audiovisuel). Ce phénomène, qui repose sur un certain nombre d’objectifs communs, se caractérise aussi par une diversité de choix, de moyens et de mises en application.
Par ailleurs, à une heure de grands redécoupages administratifs et dans un contexte budgétaire contraint, le devenir de ces politiques locales du cinéma mérite d’être interrogé. Comment, dans ce contexte, les projets de cinéma doivent-ils se réinventer ?

JournĂ©e d’Ă©tude Après les rĂ©seaux sociaux. Pratiques, esthĂ©tiques et Ă©thiques d’une Ă©cologie des Contenus GĂ©nĂ©rĂ©s par les Utilisateurs
En réponse à la massification de la production de textes et d’images liée à l’essor des plateformes de réseaux sociaux en ligne, de plus en plus d’artistes empruntent, citent et réinventent dans leurs œuvres des Contenus Générés par les Utilisateurs (CGU). L’essor de ces pratiques d’appropriation et de détournement semble signaler la généralisation de l’attitude incarnée par l’artiste Douglas Huebler, qui déclarait dès 1969 : « Le monde est rempli d’objets, plus ou moins intéressants ; je n’ai pas envie d’en ajouter davantage ». Aujourd’hui, les artistes s’appro- prient des textes et des images issus d’Internet. Considérées dans leur ensemble, ces œuvres nous questionnent sur le devenir des CGU, au statut encore largement indéterminé,
à la fois documents et créations à part entière. Elles nous invitent également à interroger les dispositifs d’éditorialisation des réseaux sociaux eux-mêmes, dont les artistes reproduisent, moquent ou subvertissent les mécanismes.
Le terme de « recyclage » semble en effet identifier les CGU à des détritus numériques, que la créativité de l’artiste élèverait au rang d’art en leur ajoutant du crédit symbolique et culturel. À l’inverse, la notion humaniste d’« écologie » invite à envisager le réemploi comme un changement d’environnement, dotant l’objet approprié de fonctionnalités et de significations nouvelles alors qu’il était condamné à l’oubli par l’hyperproduction numérique contemporaine. Penser ces pratiques artistiques à l’aune d’une écologie des médias permet d’en considérer les productions comme des objets privilégiés pour l’étude de l’écosystème médiatique, social et politique des réseaux sociaux. C’est à l’aune de ces questions que les artistes, universitaires et professionnels de la journée essaieront de réfléchir, dans un esprit interdisci- plinaire mêlant la pratique artistique et la réflexion théorique sans oublier le travail des acteurs culturels permettant la valorisation et la diffusion de ces œuvres.
INSCRIPTION OBLIGATOIRE PAR MAIL
Dans le cadre de Vigipirate Alerte Attentat, l’accès Ă l’École nationale supĂ©rieure des Arts DĂ©coratifs est restreint sur inscription obligatoire par retour mail (ecologiedescgu@protonmail.com) d’ici au 24 juin. Une pièce d’identitĂ© devra ĂŞtre prĂ©sentĂ©e Ă l’entrĂ©e de l’ENSAD. Merci de votre comprĂ©hension.

Y a-t-il un sens dans ce film ?Â
La comédie américaine des années 1980 (1975-1991)
Cette journée d’études (à entrée libre et gratuite) entend réunir toute personne intéressée par la comédie cinématographique des Etats-Unis ; surtout – mais non uniquement – les doctorant•e•s et les jeunes docteur•e•s provenant des multiples champs de la recherche en sciences humaines et sociales.
La journĂ©e veut permettre de discuter ensemble d’un sujet qui n’a pas encore gagnĂ© sa lĂ©gitimitĂ© critique et universitaire : la comĂ©die amĂ©ricaine des annĂ©es 1980.Â
La journée d’études doctorale « Y a-t-il un sens dans ce film ? : La comédie américaine des années 1980 (1975-1991) », financée par le laboratoire ESTCA de l’Université Paris 8 et par le laboratoire LISAA de l’Université Paris-Est Marne-la-Vallée, sera une opportunité pour analyser ensemble – à partir d’études de cas – un sujet, dont l’engouement scientifique n’a presque pas dépassé la sphère anglo-saxonne et qui est trop rarement abordé par la recherche française.
Cliquer pour tĂ©lĂ©charger le programme version pdfÂ
Et aussi 20h [entrée payante] : Projection exceptionnelle de Breakfast Club (1985) de John Hughes
Au cinéma Grand Action, 5 rue des Ecoles – 75005 Paris (M° « Jussieu »)