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« C’est dans la rue que ça se passe… » ?
Dans le cadre de le cadre de la Semaine des arts, Hélène Fleckinger, pour la Mission Cinquantenaire de Paris 8, vous invite à l’exposition-ateliers « C’est dans la rue que ça se passe… » ? L’Université de Paris 8 se manifeste de Vincennes à Saint-Denis« , à la Maison des étudiant.es, à l’occasion des 50 ans de mai-juin 1968 et de la préparation du Cinquantenaire de Paris 8.

Workshop « Représentations Médiatiques du Territoire »
Cet atelier fait suite au colloque sur le film guérilla (INHA – MSH PN 23-24 février 2017) qui, en se focalisation sur des auto productions issues en grande partie de Seine Saint-Denis, a pu mettre en évidence l’importance systématique du refus des représentations médiatiques du territoire comme élément moteur de cette création cinématographique indépendante. Qu’il s’agisse de Wesh wesh, qu’est-ce qui se passe ?1 ou de Rue des Cités, 20111, ces films, bien que très différents, ont été motivés par le rejet des images du territoire véhiculées par les reportages télévisés et la production cinématographique institutionnelle. Le film guérilla répond ainsi la double exigence de porter une autre image du Nord parisien tout en cherchant activement une organisation de la production cinématographique à même de ne pas reproduire ces représentationsmainstream.
Cet atelier se propose donc d’analyser, de façon précise et systématique, les représentations médiatiques du Nord parisien. Il s’agira donc, dans ce workshop, de mobiliser différents corpus (archives départementales, films de patrimoines, production cinématographique et audiovisuelle, images des mass media et nouveaux médias) afin de construire une lecture comparée des représentations du Nord parisien.

2-DAY WORKSHOP ITALIAN SILENT CINEMA A DIVE INTO THE COLLECTIONS OF THE EYE FILMMUSEUM
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Visual Salonica Jalons pour un projet de recherche collectif sur les cultures visuelles à Thessalonique Premier atelier consacré à la période 1912-1945
Journée organisée par les laboratoires de recherche HiCSA et ESTCA des universités Paris 1 et Paris 8 avec le soutien de l’École française d’Athènes.
Selanik, Salonique, Thessalonique est, au tournant des XIXe et XXe siècles, un lieu de vie et de côtoiement de Grecs orthodoxes, Turcs musulmans, Dönme, Serbes, Bulgares, Arméniens grégoriens, Albanais, Tsiganes et, surtout de Juifs sépharades particulièrement nombreux – une mosaïque de communautés dont témoignent, en langue française, les travaux de Meropi Anastassiadou. Or la ville semble entretenir un rapport fusionnel aux images reproductibles fixes et animées. Cette relation que nous postulons intime et particulièrement marquante, nous paraît prégnante durant une longue période de bouleversements politiques, culturels et sociaux couvrant a minima la fin de l’Empire ottoman, l’avènement de l’État grec moderne jusqu’à l’annexion nazie même si l’après-Seconde guerre mondiale (de la guerre civile à la metapoliteusis) mériterait d’être envisagée. Elle doit être rattachée d’office à l’allure cosmopolite de la ville, au devenir de son peuplement multiethnique et à son hellénisation progressive après 1912 puis 1917, mais également aux circulations balkaniques dont Thessalonique constitue encore un pivot au XXe siècle. Ce sont ces points de cristallisation entre une histoire urbaine houleuse et des trajectoires iconiques plurielles que nous souhaitons entreprendre d’interroger dans une approche intermédiale et transpériodique en envisageant différents supports de production, diffusion, réception. Quelles identités visuelles véhicule cette ville transnationale en mutation radicale ? En mobilisant les outils épistémologiques des visual studies, ce champ peu arpenté dans les historiographies grecque, anglosaxonne comme francophone sera à l’ordre du jour lors d’une première journée prospective qui se veut le ballon d’essai d’un projet d’envergure internationale.
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