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Mélodrames italiens : un cinéma à la croisée des arts
SoirĂ©e d’ouverture
Du 31 janvier au 17 fĂ©vrier 2018, une rĂ©trospective exceptionnelle sur le cinĂ©ma muet italien associe la Fondation JĂ©rĂŽme Seydoux-PathĂ© et le Laboratoire d’excellence des arts et mĂ©diations humaines (Labex Arts-H2H) de l’UniversitĂ© Paris 8, autour du projet portĂ© par CĂ©line Gailleurd : « Le cinĂ©ma muet italien Ă la croisĂ©e des arts europĂ©ens (1896-1930) ».
Giovanni Pastrone, Carmine Gallone, Nino Oxilia, Roberto Roberti et Febo Mari, cette programmation sera l’occasion de dĂ©couvrir les chefs-d’Ćuvre mĂ©connus de ces cinq cinĂ©astes italiens. Elle plongera ainsi les spectateurs de la Fondation dans l’univers esthĂ©tique, historique et socio-culturel de la production italienne des annĂ©es 1910-1920.
- La soirĂ©e dâouverture jeudi 1 fĂ©vrier Ă 19h sera en prĂ©sence de Emmanuel Dreux, Gian Luca Farinelli, Dork Zabunyan. Le film projetĂ© sera accompagnĂ© par Jean-François Zygel.
- Ouverture du cycle par Céline Gailleurd (Université Paris 8)
- Présentation des mélodrames italiens par Gian Luca Farinelli (Directeur de la Cineteca di Bologna)
- A 20h Projection du film Sangue Bleu (Nino Oxilia, 1914). En version restaurĂ©e en 2014 par la Cineteca di Bologna et accompagnĂ© au piano par un Ă©lĂšve de la classe d’improvisation de Jean-François Zygel (Conservatoire National SupĂ©rieur de Musique et de Danse de Paris).
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Marc Cerisuelo : Chiasme chez Godard
Séminaire interuniversitaire sur la critique
« Il ne faut pas vivre pour manger mais manger pour vivre ». Quâil le respecte ou non, chacun connaĂźt lâadage et mĂȘme la figure de style qui renverse (ou remet Ă lâendroit) les liens de causalitĂ© dans un Ă©noncĂ© : il sâagit du chiasme, ou rĂ©version, ou encore antimĂ©taboleâŠJean-Luc Godard en usa et (peut-ĂȘtre) en abusa dans le dialogue de ses films, dans ses cartons ou incrustations, voire dans lâagencement de ses plans ; mais surtout et avant tout dans ses textes critiques. Figure de la rĂ©invention et de la contradiction, du retournement et de la « remise en place », le chiasme se rĂ©vĂšle un instrument opĂ©ratoire, un outil de la pensĂ©e en acte, une arme de la critique â la fondation du godardisme.
Je voudrais donner Ă lire certaines de ces saillies dâauteur, intĂ©ressantes pour et par elles-mĂȘmes, mais aussi en les contextualisant. En « interne », comme on peut sây attendre, câest-Ă -dire en rĂ©fĂ©rence Ă lâĂ©poque, aux revues (les Cahiers du cinĂ©ma et Arts) et au sein mĂȘme du discours critique, « mondain » ou « professionnel » ; mais aussi, et dâailleurs en premier lieu, Ă lâintĂ©rieur de lâhistoire de la figure, en rhĂ©torique comme en philosophie â car la chiasme vient de loin et frappe toujours juste. Il appelle dâailleurs Ă la modestie : ce ne sera pas une confĂ©rence juste, mais juste une confĂ©rence.
Marc Cerisuelo est professeur Ă lâuniversitĂ© Paris-Est Marne-la-VallĂ©e.

Les états du cinéma, séminaire doctoral
Dirigé par Dominique Willoughby
Les espaces de la cinĂ©-danseÂ
« LâexpĂ©rience du mouvement dans lâespace filmique, du cinĂ©ma pur au direct film : espaces Ă©craniques abstraits et cinĂ©graphies impossibles » par BĂĄrbara Janicas (ESTCA, Paris 8)
Depuis les annĂ©es 1920, certains cinĂ©astes se sont emparĂ©s dâidĂ©es de danse pour explorer des espaces filmiques qui ne peuvent exister que sur pellicule. En explorant les effets visuels engendrĂ©s par lâinteraction entre les objets mouvants et la lumiĂšre pour enregistrer sur la surface photosensible des mouvements purs et imperceptibles (Dulac, Man Ray), ou en travaillant directement sur le support filmique pour donner Ă voir des chorĂ©graphies abstraites de formes gĂ©omĂ©triques (Len Lye, McLaren), ils ont rĂ©ussi Ă crĂ©er des espaces Ă©craniques fondĂ©s et façonnĂ©s sur des expĂ©riences kinĂ©tiques pures. De quelle maniĂšre la pellicule peut-elle ĂȘtre travaillĂ©e comme une matiĂšre plastique propre Ă la danse ? Comment lâĂ©cran de cinĂ©ma devient-il une scĂšne pour des chorĂ©graphiques impossibles ? Dans quelle mesure ces expĂ©rimentations sont Ă lâorigine des postĂ©rieures explorations spatiales en cinĂ©-danse ?
« Panorama des espaces de la ciné-danse, de Maya Deren à Mitchell Rose : effets chorégraphiques et implications dramaturgiques » par Sophie Walon (THALIM, ENS)
Lâune des caractĂ©ristiques les plus frappantes des cinĂ©-danses est leur propension Ă filmer la danse dans des lieux trĂšs divers et parfois insolites. Sortant la danse des théùtres, les « chorĂ©alisateurs » filment la danse dans des aires urbaines (rues, parkings, centres commerciaux, gares), des sites naturels (forĂȘts, plages, montagnes, riviĂšres), des espaces domestiques ou encore des environnements virtuels. Quels effets ces espaces ont-ils sur les corps et les mouvements ? Est-ce que, rĂ©ciproquement, les corps dansants ont une action, un impact sur ces lieux ? Comment ces espaces, qui sont aussi des contextes, façonnent-ils le sens de ces films ?
(Séance en collaboration avec le séminaire du groupe de recherche Ecrans Chorégraphiques)

Séminaire interuniversitaire sur la critique

Christophe Kihm, distraction et animalité
Si la distraction nâest pas un objet partagĂ© par les eÌtudes Ă©thologiques, câest une notion que retiennent majoritairement les Ă©tudes vĂ©tĂ©rinaires, dont les applications pratiques sont immĂ©diates dans les Ă©ducations animales. Nous ouvrirons lâĂ©tude de la distraction au comportement animal en nous attachant aÌ relever et aÌ discuter la pertinence de cette notion dans les analyses et Ă©tudes qui y ont eÌteÌ consacrĂ©es, jusquâen anthropologie ouÌ elle a pu dĂ©crire, dans certains travaux, les modalitĂ©s de prĂ©sence du chien domestique.
Nous essaierons de comprendre, dans un second temps, aÌ partir de lâexemple de chiens dâaveugle et de chiens de sourds, puis en appui sur des recherches rĂ©centes dĂ©veloppĂ©es en Ă©thologie cognitive et constructive, sous quelles conditions on peut qualifier le chien domestique dâanimal distrait, comme habitant entre deux mondes et dans ses pratiques dâattention partagĂ©e.
Cet atelier sâinscrit dans le cadre du projet « Politiques de la distraction », portĂ© par : Paul Sztulman (EnsAD) et Dork Zabunyan (ESTCA) et bĂ©nĂ©ficie dâune aide de lâANR au titre du programme Investissements dâavenir (ANR- 10-LABX-80-01).
Partenaires :
Labex Arts-H2H
ESTCA (UniversiteÌ Paris 8) EnsAD â PSL.

« C’est dans la rue que ça se passe… » ?
Dans le cadre de le cadre de la Semaine des arts, HĂ©lĂšne Fleckinger, pour la Mission Cinquantenaire de Paris 8, vous invite Ă l’exposition-ateliers « C’est dans la rue que ça se passe… » ? L’UniversitĂ© de Paris 8 se manifeste de Vincennes Ă Saint-Denis« , Ă la Maison des Ă©tudiant.es, Ă l’occasion des 50 ans de mai-juin 1968 et de la prĂ©paration du Cinquantenaire de Paris 8.

Ciné Rues, une semaine de films expérimentaux en forme de rues
Dans le cadre de La Semaine des Arts Ă Paris, ce programme en 5 sĂ©ances et un cinĂ©-concert, prĂ©sente une trentaine de films dont la rue est le sujet et l’objet d’expĂ©rimentations cinĂ©matographiques, une traversĂ©e Ă plusieurs dimensions, non seulement des rues de Berlin, Kiev, ĆĂłdĆș, Los Angeles, Moscou, New-York, Odessa, Paris, PĂ©kin, Prague, Richmond, TelÄ, VarĂšse, mais aussi d’une diversitĂ© de formes cinĂ©matographiques originales de toutes Ă©poques.
Programme conçu et présenté par Grégoire Quenault, Jennifer Verraes et Dominique Willoughby. Université Paris 8, ESTCA
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Penser le cinĂ©ma au prisme de l’enfance et l’enfance au prisme du cinĂ©ma
Ce colloque succĂšde Ă un premier symposium qui sâest tenu Ă BrĂȘme en 2016 (Internationales Bremer Symposium zum Film, à l’universitĂ© de BrĂȘme), dont il se veut complĂ©mentaire. Ce premier Ă©vĂ©nement, organisĂ© par lâuniversitĂ© de BrĂȘme en coopĂ©ration avec lâuniversitĂ© Sorbonne Nouvelle – Paris 3, a pris ces discours comme point de dĂ©part pour poser des questions plus gĂ©nĂ©rales sur la figure de lâenfant et lâenfant acteur au cinĂ©ma, sur lâenfance comme dimension de lâexpĂ©rience crĂ©atrice et de lâexpĂ©rience spectatorielle. Le prĂ©sent colloque, organisĂ© par lâuniversitĂ© Sorbonne Nouvelle â Paris 3 en coopĂ©ration avec lâuniversitĂ© de BrĂȘme, souhaite Ă prĂ©sent cibler la recherche commune sur lâhistoire et le fonctionnement de ces discours, et rĂ©flĂ©chir sur leur valeur pour une pensĂ©e contemporaine du cinĂ©ma et de lâenfance, dans une perspective pĂ©dagogique notamment.
Une publication dans la revue ThĂ©orĂšme est envisagĂ©e Ă lâissue du colloque.
Avec Alain Bergala, Hervé Joubert-Laurencin, Antonio Somaini, Teresa Castro, Emmanuel Siety, Pierre Gabaston, Bettina Henzler, Deborah Martin, Annette Kuhn, Dork Zabunyan.
Une projection sera organisée au Studio des Ursulines le jeudi 5 avril.
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Organisation :
Perrine Boutin et Emmanuel Siety
UniversitĂ© Sorbonne Nouvelle – Paris 3
Bettina Henzler
UniversitÀt Bremen

Séminaire inter-universitaire sur la critique
CĂ©lĂ©brons le centenaire d’AndrĂ© Bazin !
Dans le cadre du séminaire sur la critique de cinéma « IDEC » le laboratoire HAR (Paris Nanterre) ses directeurs Hervé Joubert-Laurencin et Rémi Labrusse vous invitent cordialement à partager un verre en mémoire du critique de cinéma André Bazin (18 avril 1918 Angers-11 novembre 1958 Bry-sur-Marne).
Cette annĂ©e de commĂ©moration nationale verra la sortie courant octobre de ses Ăcrits complets aux Ă©ditions Macula dâun film documentaire, Bazin roman, rĂ©alisĂ© par Marianne Dautrey et HervĂ© Joubert-Laurencin de colloques internationaux organisĂ© Ă Chicago en octobre par Daniel Morgan et Dudley Andrew et Ă Paris en dĂ©cembre par le groupe IDEC.

Séminaire Inter-universitaire sur la critique
Eric Rohmerâs Film Theory (1948-1953)
Conférence de Marco Grosoli (Habib Université)
Eric Rohmerâs Film Theory (1948-1953) : from âĂ©cole SchĂ©rerâ to âPolitique des auteursâ, qui vient dâĂȘtre publiĂ© par Amsterdam University Press, est le premier de deux livres consacrĂ©s Ă une relecture radicale de la politique des auteurs, sâappuyant sur des centaines de textes (gĂ©nĂ©ralement pas trĂšs lus) Ă©crits par les « jeunes turcs » principalement sur les Cahiers et sur Arts. Il se concentre notamment sur sa toute premiĂšre phase, quand le groupe se forma autour dâEric Rohmer, dont la conception du cinĂ©ma venait justement de se cristalliser (selon lâavis de Rohmer lui-mĂȘme) vers 1950 tout en exerçant une influence capitale sur les autres jeunes critiques.
Cette confĂ©rence prĂ©sentera le livre en abordant un de ses aspects en particulier, Ă savoir le rejet, de la part de Rohmer, de lâexistentialisme sartrien qui lâavait marquĂ© au dĂ©but, pour adopter une perspective (surtout) kantienne. Câest autour de ce rejet que se formera lâ« Ă©cole SchĂ©rer » (comme la baptisa Pierre Kast), dont les premiers pas seront dĂ©crits pendant la confĂ©rence tout en traçant le contour de ce « big bang » Ă lâorigine de lâ« Ă©cole SchĂ©rer » (et ensuite de la politique des auteurs elle-mĂȘme) quâon peut aussi appeler, de façon quelque peu Ă©nigmatique mais au demeurant trĂšs convenable, « lâachĂšvement de la camĂ©ra-stylo ».

Workshop « Représentations Médiatiques du Territoire »
Cet atelier fait suite au colloque sur le film guĂ©rilla (INHA â MSH PN 23-24 fĂ©vrier 2017) qui, en se focalisation sur des auto productions issues en grande partie de Seine Saint-Denis, a pu mettre en Ă©vidence lâimportance systĂ©matique du refus des reprĂ©sentations mĂ©diatiques du territoire comme Ă©lĂ©ment moteur de cette crĂ©ation cinĂ©matographique indĂ©pendante. Quâil sâagisse de Wesh wesh, qu’est-ce qui se passe ?1 ou de Rue des CitĂ©s, 20111, ces films, bien que trĂšs diffĂ©rents, ont Ă©tĂ© motivĂ©s par le rejet des images du territoire vĂ©hiculĂ©es par les reportages tĂ©lĂ©visĂ©s et la production cinĂ©matographique institutionnelle. Le film guĂ©rilla rĂ©pond ainsi la double exigence de porter une autre image du Nord parisien tout en cherchant activement une organisation de la production cinĂ©matographique Ă mĂȘme de ne pas reproduire ces reprĂ©sentationsmainstream.
Cet atelier se propose donc dâanalyser, de façon prĂ©cise et systĂ©matique, les reprĂ©sentations mĂ©diatiques du Nord parisien. Il sâagira donc, dans ce workshop, de mobiliser diffĂ©rents corpus (archives dĂ©partementales, films de patrimoines, production cinĂ©matographique et audiovisuelle, images des mass media et nouveaux mĂ©dias) afin de construire une lecture comparĂ©e des reprĂ©sentations du Nord parisien.

Séminaire inter-universitaire sur la critique
Chantier Bazin
De lâintĂ©rĂȘt et de la maniĂšre de publier les Ă©crits complets dâun critique de cinĂ©ma.
HervĂ© Joubert-Laurencin, directeur de lâouvrage, Pierre EugĂšne, qui fut ingĂ©nieur de recherche lors dâune Ă©tape de son Ă©laboration et qui y collabore toujours, VĂ©ronique Yersin, directrice des Ă©ditions Macula, ainsi que dâautres membres de lâĂ©quipe disponibles actuellement au travail sur le bouclage de cette Ă©dition exceptionnelle, viendront prĂ©senter lâĂ©tat de la science et lâĂ©tat de lâobjet.

Un état de distraction permanent: le cas Donald J. Trump
Conférence de Dork Zabunyan
Donald Trump gouverne par distraction, non seulement en transformant la politique en pur spectacle, mais aussi, et par lĂ mĂȘme, en Ă©loignant ses concitoyens des problĂšmes effectifs qui affectent leur existence au quotidien.
Images et discours Ă lâappui, il sâagira de revenir sur une prĂ©sidence Ă nulle autre pareille, oĂč une nation entiĂšre semble prise au piĂšge dâune «politique de la distraction» qui la transit tout entiĂšre autant quâelle la divise.
EvĂ©nement dans le cadre du lancement de lâĂcole Universitaire de Recherche ArTeC.

« Corps politiques et critique des médias : pour une télévision impure »
Conférence de Dork Zabunyan
Premier workshop : « Changer, échanger, Serge daney au milieu du gué » dans le cadre du projet « Serge Daney and queer cinephilia » oreganisé par Kate Ince, Marc Siegel et Pierre EugÚne. Partenaires : Goethe UniversitÀt, University of Birmingham, HAR.

Gouverner par distraction : culture de masse et propagande Ă lâĂšre de Donald Trump.
Une conférence de Dork Zabunyan
Dans le cadre du Colloque : « Cinéma, masses et propagande : autour de Kracauer et Benjamin. »
Organisation : Olivier Agard (Sorbonne Université) et Stephanie Baumann (Université de Valenciennes/Polytechnique Hauts-de-France)

Ateliers annuels du groupe de recherche « Théùtres de la mémoire »
LâAveu filmĂ©
Créé en 2003, le groupe de recherches Théùtres de la mémoire réunit des chercheurs en études cinématographiques de quatre universités (Paris 1, Paris 3, Paris 7, Paris 8) en proposant une approche pluridisciplinaire des images en mouvement.
ConsidĂ©rant le dispositif dâenregistrement et de projection du cinĂ©ma comme un « théùtre » de la mĂ©moire, le travail de lâĂ©quipe vise Ă dĂ©finir historiquement et thĂ©oriquement les rapports quâentretiennent images reproductibles et histoire, technologie et archive, fiction et documentaire, Ă©criture de soi et Ă©criture de l’histoire.
Dans le prolongement des motifs abordĂ©s au cours des annĂ©es antĂ©rieures et Ă la confluence des recherches menĂ©es sur le tĂ©moignage filmĂ© et lâusage des archives audiovisuelles, la question de lâaveu filmĂ© apparaĂźt offrir une perspective essentielle sur la puissance propre Ă lâenregistrement filmique. â Lire la suite
Co-direction
Christa BLĂMLINGER (ESTCA/Paris 8)
MichĂšle LAGNY (IRCAV/Paris 3)
Sylvie LINDEPERG (CERHEC/Paris 1)
Sylvie ROLLET (IRCAV/Poitiers)
Marguerite VAPPEREAU (CLARE/Bordeaux Montaigne)