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WORKSHOP + PRÉSENTATION + PROJECTION AUX GIORNATE DEL CINEMA MUTO DE PORDENONE
« FILMER L’ITALIE ENTRE 1896-1930. DES PAYSAGES RÉELS AUX PAYSAGES RÉINVENTÉS »
Le 4 octobre, Céline Gailleurd sera aux Giornate del cinema muto de Pordenone pour animer un workshop, présenter l’ouvrage « Le Cinéma muet italien à la croisée des arts » et sa traduction en italien, ainsi que son film « Italia, Le Feu, La Cendre ».
14:00-16:00 : Workshop « Filmer l’Italie entre 1896-1930 : des paysages réels aux paysages réinventés », sous la direction de Silvio Alovisio, Céline Gailleurd et Luca Mazzei. Hotel Moderno – Salle de conférence n°35. Viale Franco Martelli 1, 33170, Pordenone Italie
16:00 : Présentation des publications « L’oro di Atlantide. Il cinema muto italiano e le arti » (Edizioni Kaplan) et « Le Cinéma muet italien à la croisée des arts » (Presses du Réel/ ArTec). Théâtre Verdi (Ridotto) Viale Franco Martelli, 2, 33170 Pordenone PN, Italie
17:00 : Projection d’ « Italia, Il Fuoco, La Cenere » (Italie, Le Feu, La Cendre, Céline Gailleurd, Olivier Bohler) (IT/FR 2022). Théâtre Verdi (Sala Grande – 938 places) Viale Franco Martelli, 2, 33170 Pordenone PN, Italie

Colloque Guy Gilles – « Je croyais que la vie était un poème »
À l’occasion du cinquantenaire d’Absences répétées, hommage est rendu au cinéaste Guy Gilles. À partir du 19 octobre, une rétrospective permettra de voir ou de revoir ses films en salle (Le Grand Action et Le Reflet Médicis à Paris, L’Ecran de Saint-Denis) et de découvrir des fragments filmiques rares.Un colloque organisé les 27 et 28 octobre à l’Université Paris 8 Vincennes – Saint-Denis donnera l’occasion à des chercheur.euse.s et à des cinéastes de croiser leurs regards. Les œuvres réalisées pour le cinéma ou pour la télévision, son travail de photographe, éclairant et révélateur, son écriture rythmique des images, son art du montage/collage, son rapport aux acteurs/actrices entre « modernité » et « nostalgie », l’utilisation des chansons, des musiques de son cousin et compositeur Jean-Pierre Stora, son approche d’oeuvres littéraires, comme La Recherche de Marcel Proust ou les romans de Jean Genet feront l’objet d’études. On abordera également son œuvre d’un point de vue contextuel. Guy Gilles faisant ses premiers films en Algérie avant l’indépendance, arrivant ensuite à Paris en pleine Nouvelle Vague, il a été sensible très tôt aux désillusions de la jeunesse post-68, avant de vivre les années SIDA.
Cliquer ici pour télécharger le programme du colloque en pdf.

MICHAEL SNOW – NOVEMBRE EXPÉRIMENTAL #3
Rétrospective de films et exposition
Pour sa troisième édition de Novembre Expérimental, Cinédoc présente un cycle exceptionnel de projections en 16mm et d’exposition consacré aux films de Michael Snow, artiste protéiforme canadien, avec des séances au cinéma Le Grand Action et à l’Institut National d’Histoire de l’Art de plus d’une vingtaine de ses films réalisés de 1956 jusqu’à 2019.
Le cycle de projections d’une vingtaine de films de Michael Snow que propose Cinédoc Paris Films Coop sera l’occasion de voir ou revoir, non seulement les grands films qui ont révélé Snow comme un cinéaste majeur, mais également une sélection de la diversité de ses explorations et arpentages de la vision-audition cinématographique. De la prégnance du zoom métamorphique de Wavelength à la caméra tellurique et omnidirectionnelle de La Région Centrale, passant par les jeux avec le temps filmique, des durées immobiles de One Second in Montreal, l’ultra ralenti de See You Later, jusqu’à l’extrême déclinaison du film sonore avec le très rare Rameau’s Nephew …, entre autres.
Michael Snow est né à Toronto en 1929, peintre, sculpteur, photographe, musicien et cinéaste, obtient le grand Prix de Knokke en 1968 pour son film Wavelength qui, avec La Région Centrale le consacre comme l’un des plus grands cinéastes. Il a réalisé à ce jour 26 films, outre ses œuvres plastiques, photographies, hologrammes, installations visuelles et sonores et livres d’artiste.
Projections au cinéma le Grand Action et à l’Institut National d’Histoire de l’Art.
Exposition « Michael Snow : Autour de son nouveau livre » à la galerie Martine Aboucaya, du 15 novembre au 7 janvier.
Manifestation organisée avec le soutien du CNC et en partenariat avec le Centre Culturel Canadien à Paris, le cinéma Le Grand Action, l’ Institut National d’Histoire de l’Art et l’ESTCA-Paris8.

Rencontre avec Mélanie Forret pour son ouvrage
« Guy Gilles – À contretemps »

La « preuve par l’image » : contre-analyse, contre-histoire, complotisme
Colloque international
Cet événement, organisé par Aurélie Ledoux (Université Paris Nanterre/ HAR) et Ophir Levy (Université Paris 8/ESTCA), s’inscrit dans le cadre du projet de recherche « La « preuve par l’image »: de la contre-histoire au complotisme », mené depuis 2020 au sein de l’EUR ArTeC. Il en constituera le colloque de clôture. À la croisée d’enjeux épistémologiques, politiques, technologiques et médiatiques, ce projet fait collaborer enseignants-chercheurs, journalistes, archivistes, ingénieurs et artistes ayant pour objectif de penser ensemble la place spécifique de l’image photo-filmique dans la revendication et la promotion de contre-analyses ou même de formes de « contre-histoire ».
Cliquer ici pour télécharger le programme du colloque en pdf.

Rencontre autour de Harun Farocki
avec Christa Blümlinger
A l’occasion de la parution de Harun Farocki : Du cinéma au musée, rencontre avec Christa Blümlinger, animée par Judith Revault d’Allonnes, à la librairie du centre Georges Pompidou.

Lancement de l’ouvrage
« Jacques Rancière et le monde des images » de Dork Zabunyan
Premier ouvrage spécifiquement consacré aux écrits de Jacques Rancière sur le cinéma, le lancement de Jacques Rancière et le monde des images (éditions Mimésis) à la librairie La Petite Égypte se fera en présence du philosophe et de Dork Zabunyan.
À ce jour, aucun ouvrage n’a été consacré aux liens étroits qu’entretient Jacques Rancière avec le cinéma. Cet essai aimerait combler ce manque. Dans la masse abondante des textes que le philosophe a dédiés aux images en mouvement – livres monographiques, articles rassemblés en recueil, recensions de film dispersées dans des revues, interviews –, Dork Zabunyan propose un parcours raisonné qui montre comment la pensée de Rancière nous permet d’explorer les relations toujours plus convulsives entre le septième art et d’autres régimes d’images (télévision, internet, médias sociaux…). En traversant le western, le documentaire, la comédie musicale ou encore la fiction historique, Rancière tisse la toile d’un « monde des images » moins préoccupé par la pureté du médium cinématographique que par l’actualité de sa puissance de création.
Entrée libre dans la limite des places disponibles.

Rencontre avec Dork Zabunyan autour de son ouvrage
« Jacques Rancière et le monde des images »
La librairie du Jeu de Paume et les éditions Mimesis, vous invitent à rencontrer Dork Zabunyan dans l’auditorium du Jeu de Paume, pour la parution de son ouvrage, Jacques Rancière et le monde des images aux éditions Mimesis.
Dork Zabunyan dialoguera avec Camille Bui, maîtresse de conférences à l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne ; Alice Leroy, maîtresse de conférences à l’Université Gustave Eiffel et membre de l’équipe qui dirige les Cahiers du cinéma ; Antonio Somaini, professeur à l’université Sorbonne Nouvelle – Paris 3 et Ania Szczepanska, maîtresse de conférences à l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et réalisatrice.
Accès libre sur réservation ici.

Rencontre avec Noël Herpe autour de Ma vie avec Bernard Pivot
La Librairie du Cinéma du Panthéon & les Editions Plein jour ont le plaisir d’inviter Noël Herpe qui présentera son nouveau livre Ma vie avec Bernard Pivot.
Rencontre animée par Gautier Roos, journaliste pour Chaos Reigns et l’INA.
De Charles Bukowski à Elia Kazan, de Marguerite Duras à Jean d’Ormesson, ce livre évoque, au gré de la mémoire, les riches heures de l’émission Apostrophes et de ses satellites (le mythique Ciné-club de Claude-Jean Philippe)… Mais ce n’est pas un hommage nostalgique, ni une galerie de portraits d’écrivains ou de cinéastes. J’essaie surtout, en me souvenant des débats de Bernard Pivot écoutés alors religieusement (et redécouverts, des années après, dans les trésors de l’INA), de mesurer le travail de la littérature, l’évolution du jeune homme (que j’étais) face à des figures paternelles intimidantes, à la télé et dans ma vie. Comment se saisir de l’écriture ? C’est la question que posait Apostrophes, inlassablement, semaine après semaine – et que j’ai cherché, dans son ombre portée, à faire mienne.

Le cinéma d’Andreï Zviaguintsev : Traversées d’un monde en crise
Colloque international
Andreï Zviaguintsev est l’un des plus importants cinéastes contemporains russes, loué dans le monde entier, mais fortement contesté au sein de son propre pays. Sa carrière débute en 2003 avec son premier long métrage Le Retour (Vozvrachtchenie) qui obtient le Lion d’Or à Venise. La suite de son parcours cinématographique confirmera l’importance de ce cinéaste dans le paysage cinématographique russe contemporain avec des films tels que Elena (2011), Leviathan (Leviafan, 2014) et Faute d’amour (Nelubov, 2017).
Cette œuvre d’une grande cohérence thématique et esthétique a bénéficié d’une belle couverture dans la presse internationale, mais n’a fait l’objet que de rares approches et analyses universitaires. Si certains films ont été étudiés par des chercheurs, et que des documents de travail sont désormais disponibles à l’analyse comme une des versions du scénario d’Elena et le journal de tournage du film ou encore une analyse de la fabrique de Leviathan plan par plan par le cinéaste, néanmoins une approche complète et transversale, tenant compte des perspectives nouvelles ouvertes par les bouleversements géopolitiques que connaît aujourd’hui la région, reste encore à construire. C’est l’objectif de ce colloque qui sera la première manifestation scientifique internationale dédiée à l’œuvre d’Andreï Zviaguintsev.
Comité d’organisation : Céline Gailleurd, Damien Marguet, Eugénie Zvonkine
Cliquer ici pour télécharger le programme du colloque en pdf.

Boîtes noires, écrans blancs
Cinéma et archives des dictatures latino-américaines
Colloque international
Dans la production documentaire contemporaine de l’Amérique latine, les dictatures militaires paraguayenne (1954-1989), brésilienne (1964-1985), bolivienne (1964-1982), uruguayenne (1973-1984), chilienne (1973-1990) et argentine (1976-1983), constituent une thématique majeure traitée selon de nombreuses perspectives. Cette production hétérogène répond à la découverte progressive de matériaux d’archives, lesquels ont fait surface à la fois à partir de l’ouverture des archives étatiques ayant été classées comme confidentielles et des archives privées, auparavant occultées. Résultante d’une lutte politique tenace et continue, depuis quarante ans, l’ouverture de ces « boîtes noires » diverses s’effectue dans des contextes de tensions et de deuils. Le cinéma devient ainsi un territoire privilégié d’élaboration et de négociation d’archives en dispute. Entre histoire, mémoire et expérience, il nous intéresse de discuter les formes par lesquelles les films documentaires construisent des récits sur le passé traumatique récent des pays latino-américains, tout en examinant les possibilités du cinéma comme agent d’élaboration du passé et d’une écriture de l’histoire et de la mémoire.
Comité d’organisation : Beatriz Rodovalho (IRCAV, Université Sorbonne Nouvelle – Paris 3) — Claire Allouche (ESTCA, Université Paris 8 Vincennes-Saint-Denis) — Isabel Castro (IRCAV /RIRRA21 – Université Paul Valéry Montpellier 3) — Pietsie Feenstra (RIRRA 21 – Université Paul Valéry Montpellier 3) — Raquel Schefer (LIRA, Université Sorbonne Nouvelle – Paris 3)
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