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Paris 8 fait son cinéma #6
Avec les étudiants de Paris 8, et Gabrielle Salem, Garance Rigoni, Nicolas Droin
Paris 8 fait son cinĂ©ma est un Ă©vĂ©nement créé par des Ă©tudiant.es en cinĂ©ma de Paris 8 pour les Ă©tudiant.es. L’idĂ©e est de prĂ©senter tous les films (Ă condition que la/le rĂ©alisatrice/teur soit prĂ©sent.e pour le prĂ©senter), sans sĂ©lection, afin de donner un espace de diffusion aux crĂ©ations de nos Ă©tudiant.es, de nos cours, ateliers… Cet espace permet aux Ă©tudiant.es et enseignant.es de dĂ©couvrir les films qui se font dans les autres cours, de partager aussi sur les pratiques, les pĂ©dagogies, les exercices… C’est aussi un espace de rencontre entre les Ă©tudiant.es et entre les « niveaux » puisque Ă©tudiant.es en Master, en L1, L2, et L3 se mĂ©langent, Ă©changent… Enfin nous nous associons Ă chaque fois Ă des squats, lieux associatifs, ouverts, en marge, pour inventer, ensemble, une autre programmation que celle uniquement commerciale, ou « sur sĂ©lection » (prix, palmarĂšs et autres concours…) du cinĂ©ma. Nous avons prĂ©sentĂ© plus de 60 films depuis environ deux ans.
Nous prĂ©senterons en ouverture l’un des films rĂ©alisĂ© par Nicolas Garmendia et ses camarades, en hommage Ă Nicolas. Nicolas Ă©tait venu prĂ©senter ce film lors de l’une de nos prĂ©cĂ©dentes projections.

Mélodrames italiens : un cinéma à la croisée des arts
SoirĂ©e d’ouverture
Du 31 janvier au 17 fĂ©vrier 2018, une rĂ©trospective exceptionnelle sur le cinĂ©ma muet italien associe la Fondation JĂ©rĂŽme Seydoux-PathĂ© et le Laboratoire d’excellence des arts et mĂ©diations humaines (Labex Arts-H2H) de l’UniversitĂ© Paris 8, autour du projet portĂ© par CĂ©line Gailleurd : « Le cinĂ©ma muet italien Ă la croisĂ©e des arts europĂ©ens (1896-1930) ».
Giovanni Pastrone, Carmine Gallone, Nino Oxilia, Roberto Roberti et Febo Mari, cette programmation sera l’occasion de dĂ©couvrir les chefs-d’Ćuvre mĂ©connus de ces cinq cinĂ©astes italiens. Elle plongera ainsi les spectateurs de la Fondation dans l’univers esthĂ©tique, historique et socio-culturel de la production italienne des annĂ©es 1910-1920.
- La soirĂ©e dâouverture jeudi 1 fĂ©vrier Ă 19h sera en prĂ©sence de Emmanuel Dreux, Gian Luca Farinelli, Dork Zabunyan. Le film projetĂ© sera accompagnĂ© par Jean-François Zygel.
- Ouverture du cycle par Céline Gailleurd (Université Paris 8)
- Présentation des mélodrames italiens par Gian Luca Farinelli (Directeur de la Cineteca di Bologna)
- A 20h Projection du film Sangue Bleu (Nino Oxilia, 1914). En version restaurĂ©e en 2014 par la Cineteca di Bologna et accompagnĂ© au piano par un Ă©lĂšve de la classe d’improvisation de Jean-François Zygel (Conservatoire National SupĂ©rieur de Musique et de Danse de Paris).
â TĂ©lĂ©charger le programme complet du cycle

Les états du cinéma, séminaire doctoral
Dirigé par Dominique Willoughby
Les espaces de la cinĂ©-danseÂ
« LâexpĂ©rience du mouvement dans lâespace filmique, du cinĂ©ma pur au direct film : espaces Ă©craniques abstraits et cinĂ©graphies impossibles » par BĂĄrbara Janicas (ESTCA, Paris 8)
Depuis les annĂ©es 1920, certains cinĂ©astes se sont emparĂ©s dâidĂ©es de danse pour explorer des espaces filmiques qui ne peuvent exister que sur pellicule. En explorant les effets visuels engendrĂ©s par lâinteraction entre les objets mouvants et la lumiĂšre pour enregistrer sur la surface photosensible des mouvements purs et imperceptibles (Dulac, Man Ray), ou en travaillant directement sur le support filmique pour donner Ă voir des chorĂ©graphies abstraites de formes gĂ©omĂ©triques (Len Lye, McLaren), ils ont rĂ©ussi Ă crĂ©er des espaces Ă©craniques fondĂ©s et façonnĂ©s sur des expĂ©riences kinĂ©tiques pures. De quelle maniĂšre la pellicule peut-elle ĂȘtre travaillĂ©e comme une matiĂšre plastique propre Ă la danse ? Comment lâĂ©cran de cinĂ©ma devient-il une scĂšne pour des chorĂ©graphiques impossibles ? Dans quelle mesure ces expĂ©rimentations sont Ă lâorigine des postĂ©rieures explorations spatiales en cinĂ©-danse ?
« Panorama des espaces de la ciné-danse, de Maya Deren à Mitchell Rose : effets chorégraphiques et implications dramaturgiques » par Sophie Walon (THALIM, ENS)
Lâune des caractĂ©ristiques les plus frappantes des cinĂ©-danses est leur propension Ă filmer la danse dans des lieux trĂšs divers et parfois insolites. Sortant la danse des théùtres, les « chorĂ©alisateurs » filment la danse dans des aires urbaines (rues, parkings, centres commerciaux, gares), des sites naturels (forĂȘts, plages, montagnes, riviĂšres), des espaces domestiques ou encore des environnements virtuels. Quels effets ces espaces ont-ils sur les corps et les mouvements ? Est-ce que, rĂ©ciproquement, les corps dansants ont une action, un impact sur ces lieux ? Comment ces espaces, qui sont aussi des contextes, façonnent-ils le sens de ces films ?
(Séance en collaboration avec le séminaire du groupe de recherche Ecrans Chorégraphiques)

Christophe Kihm, distraction et animalité
Si la distraction nâest pas un objet partagĂ© par les eÌtudes Ă©thologiques, câest une notion que retiennent majoritairement les Ă©tudes vĂ©tĂ©rinaires, dont les applications pratiques sont immĂ©diates dans les Ă©ducations animales. Nous ouvrirons lâĂ©tude de la distraction au comportement animal en nous attachant aÌ relever et aÌ discuter la pertinence de cette notion dans les analyses et Ă©tudes qui y ont eÌteÌ consacrĂ©es, jusquâen anthropologie ouÌ elle a pu dĂ©crire, dans certains travaux, les modalitĂ©s de prĂ©sence du chien domestique.
Nous essaierons de comprendre, dans un second temps, aÌ partir de lâexemple de chiens dâaveugle et de chiens de sourds, puis en appui sur des recherches rĂ©centes dĂ©veloppĂ©es en Ă©thologie cognitive et constructive, sous quelles conditions on peut qualifier le chien domestique dâanimal distrait, comme habitant entre deux mondes et dans ses pratiques dâattention partagĂ©e.
Cet atelier sâinscrit dans le cadre du projet « Politiques de la distraction », portĂ© par : Paul Sztulman (EnsAD) et Dork Zabunyan (ESTCA) et bĂ©nĂ©ficie dâune aide de lâANR au titre du programme Investissements dâavenir (ANR- 10-LABX-80-01).
Partenaires :
Labex Arts-H2H
ESTCA (UniversiteÌ Paris 8) EnsAD â PSL.

« C’est dans la rue que ça se passe… » ?
Dans le cadre de le cadre de la Semaine des arts, HĂ©lĂšne Fleckinger, pour la Mission Cinquantenaire de Paris 8, vous invite Ă l’exposition-ateliers « C’est dans la rue que ça se passe… » ? L’UniversitĂ© de Paris 8 se manifeste de Vincennes Ă Saint-Denis« , Ă la Maison des Ă©tudiant.es, Ă l’occasion des 50 ans de mai-juin 1968 et de la prĂ©paration du Cinquantenaire de Paris 8.
