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Paris 8 fait son cinéma #6
Avec les étudiants de Paris 8, et Gabrielle Salem, Garance Rigoni, Nicolas Droin
Paris 8 fait son cinĂ©ma est un Ă©vĂ©nement créé par des Ă©tudiant.es en cinĂ©ma de Paris 8 pour les Ă©tudiant.es. L’idĂ©e est de prĂ©senter tous les films (Ă condition que la/le rĂ©alisatrice/teur soit prĂ©sent.e pour le prĂ©senter), sans sĂ©lection, afin de donner un espace de diffusion aux crĂ©ations de nos Ă©tudiant.es, de nos cours, ateliers… Cet espace permet aux Ă©tudiant.es et enseignant.es de dĂ©couvrir les films qui se font dans les autres cours, de partager aussi sur les pratiques, les pĂ©dagogies, les exercices… C’est aussi un espace de rencontre entre les Ă©tudiant.es et entre les « niveaux » puisque Ă©tudiant.es en Master, en L1, L2, et L3 se mĂ©langent, Ă©changent… Enfin nous nous associons Ă chaque fois Ă des squats, lieux associatifs, ouverts, en marge, pour inventer, ensemble, une autre programmation que celle uniquement commerciale, ou « sur sĂ©lection » (prix, palmarĂšs et autres concours…) du cinĂ©ma. Nous avons prĂ©sentĂ© plus de 60 films depuis environ deux ans.
Nous prĂ©senterons en ouverture l’un des films rĂ©alisĂ© par Nicolas Garmendia et ses camarades, en hommage Ă Nicolas. Nicolas Ă©tait venu prĂ©senter ce film lors de l’une de nos prĂ©cĂ©dentes projections.

Projection DĂ©bat organisĂ©e au CinĂ©ma LâArlequin
19h30 Les Amants réguliers en présence de Philippe Garrel
avec Louis Seguin

SĂ©minaire doctoral pluridisciplinaire âPenser la crĂ©ation contemporaine dans le CĂŽne Sudâ
« La danse indĂ©pendante Ă Buenos Aires : Ćuvres visibles et pratiques souterraines », avec  Caterina Mora, danseuse, performeuse et chercheuse argentine.
A lâĂšre de la super-reproductibilitĂ© technique, certaines Ćuvres ont le pouvoir de traverser les ocĂ©ans : combien de films, textes, et morceaux de musique passent-ils ainsi de regards en oreilles, transitant par des rĂ©seaux officiels ou pirates ? Mais quâen est-il pour la danse ? Alors mĂȘme que la crĂ©ation en danse contemporaine est particuliĂšrement foisonnante en Argentine, ce sont trĂšs peu de piĂšces qui arrivent finalement jusquâen Europe. Par ailleurs, limiter ce champ dâexpĂ©rimentation aux objets produits semble bien rĂ©ducteur au regard de la multiplicitĂ© de pratiques dansĂ©es que lâon peut rencontrer sur ces terresâŠ
Nous vous invitons donc Ă une plongĂ©e dans le monde de la danse indĂ©pendante de la capitale argentine : qui sont les danseurs et les chorĂ©graphes qui animent ce microcosme dynamique, pour quelles Ćuvres et quelles pratiques, Ă travers quels corps et quels imaginaires, dans quel type de travail, quelles conditions de production ? Pour traverser ces questions, nous dialoguerons avec Caterina Mora, chorĂ©graphe, performeuse et chercheuse argentine vivant actuellement Belgique. Nous aborderons les paradoxes et les espoirs et de la danse indĂ©pendante portĂšgne, puis elle nous invitera Ă entrer dans son actuel processus de recherche-crĂ©ation, autour de lâimaginaire de la communautĂ© latine en Europe. Elle nous prĂ©sentera « 18 minutes of a poor cheap bastard lecture performanceâ, proposĂ©e il y a peu au Kanal Pompidou Ă Bruxelles.