
Soutenance de doctorat de Véronique BUYER
Paris 8 Salle des thèses,
Espace Deleuze, Bâtiment A, 1er étage (Face à l’Amphi A2)
Le Mur comme catégorie esthétique centrale dans la création cinématographique de Michelangelo Antonioni (et quelques liens transfilmiques).
En présence des membres du jury :
Monsieur Patrick Louguet (Directeur de recherche)
Monsieur Sébastien DENIS
Monsieur Christian VIVIANI
Monsieur Jean-François BAILLON

Soutenance de doctorat de Florence CHERON
Bibliothèque, 3e étage, salle 312
Ecole doctorale « Esthétiques, sciences et technologies des arts»
Discipline : Esthétique, sciences et technologies des arts – spécialité cinéma et audiovisuel
Titre de la thèse: Tim Burton, un cinéma de la ré-imagination.
Membres du Jury :
Monsieur Dominique WILLOUGHBY (Directeur de recherche)
Monsieur Sébastien DENIS
Monsieur Christian VIVIANI
Monsieur Jean-François BAILLON
Madame Cécile SORIN

Le cinéma d’Abdellatif Kechiche Prémisses et devenir
Le jeudi 26 janvier 2016 à partir de 18 heures 30
Au 15, rue Victor Cousin, 75005 Paris

Soutenance de Doctorat de Monsieur Gabriel Bortzmeyer
MSH Paris Nord, Salle 414.
Ecole doctorale « Esthétiques, sciences et technologies des arts »
Discipline : Esthétique, sciences et technologies des arts – spécialité cinéma et audiovisuel
Titre de la thèse : « Figures du peuple dans le cinéma contemporain. Chine, révolutions, France.»
Directrice de recherche: Madame Christa BLUMLINGER
Membres du Jury :
Monsieur Antoine de BAECQUE
Madame Judith REVEL
Madame Corinne MAURY
Monsieur Dork ZABUNYAN

Soutenance de doctorat de Romain Lefèbvre
Titre de la thèse
» Hong Sang-soo, un cinéma de la croyance.
Continuités, discontinuités, conflits d’images et mutation des personnages. »
Directeur de recherche
Monsieur Dork ZABUNYAN
Membres du Jury
Madame Emmanuelle ANDRE
Monsieur Antony FIANT
Madame Fabienne COSTA
Monsieur Frédéric SABOURAUD

Les éditions Rouge Profond ont le plaisir de vous annoncer deux rencontres autour du dernier livre de Raymond Bellour, Dans la compagnie des oeuvres. Entretien avec Alice Leroy et Gabriel Bortzmeyer.
Fruit d’entretiens conduits sur plus d’une année, voici la biographie intellectuelle de Raymond Bellour, écrivain français, critique et penseur du cinéma. Il a notamment fondé la revue Artsept dans les années 1960 et participé trente ans plus tard, aux côtés de Serge Daney, à la création de la revue Trafic.

Les Editions de La Lettre volée ont le plaisir de vous annoncer une rencontre autour de :
La Dernière photographie. Sarabande de Ingmar Bergman
de Isabelle Rèbre
Ed. La Lettre volée, Collection Palimpsestes, 2017
Isabelle Rèbre s’entretiendra avec Dominique Dussidour
et Bernard Bloch lira des extraits du livre
Ingmar Bergman réalise Sarabande à quatre-vingt six ans alors qu’il pensait en avoir fini avec le cinéma. Ce tournage apparaît comme la seule issue aux tourments qui s’emparent de lui en cette fin de vie. Le cinéaste y pose la question du dialogue avec les morts : la réponse tient ici à l’utilisation de la photographie. Ainsi, place-t-il au cœur de son film le portrait d’une défunte : c’est paradoxalement cette image fixe qui va mettre en mouvement les personnages, et provoquer leur déplacement. La sarabande n’est-elle pas d’abord une danse ? Ultime et subtil renversement d’un cinéma qu’on pensait hanté par la mort.

Les Editions de La Lettre volée ont le plaisir de vous annoncer une rencontre autour de :
La Dernière photographie. Sarabande de Ingmar Bergman
de Isabelle Rèbre
Ed. La Lettre volée, Collection Palimpsestes, 2017
Ingmar Bergman réalise Sarabande à quatre-vingt six ans alors qu’il pensait en avoir fini avec le cinéma. Ce tournage apparaît comme la seule issue aux tourments qui s’emparent de lui en cette fin de vie. Le cinéaste y pose la question du dialogue avec les morts : la réponse tient ici à l’utilisation de la photographie. Ainsi, place-t-il au cœur de son film le portrait d’une défunte : c’est paradoxalement cette image fixe qui va mettre en mouvement les personnages, et provoquer leur déplacement. La sarabande n’est-elle pas d’abord une danse ? Ultime et subtil renversement d’un cinéma qu’on pensait hanté par la mort.

Soutenance de Doctorat de Madame Mélanie Forret
Université Paris 8, Salle A280.
Ecole doctorale « Esthétiques, sciences et technologies des arts »
Discipline : Esthétique, sciences et technologies des arts – spécialité cinéma et audiovisuel
Titre de la thèse : « Le cinéma de Guy Gilles : une œuvre à contretemps »
Directeur de recherche: Monsieur Serge LE PERON, professeur, Paris 8
Membres du Jury :